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Orchestra of Bubbles
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Producteur
: Ellen Allien & Sascha Ring |
Distribution
: B. pitch control |
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Chronique
i-muzzik.net ( Harry
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L’impeccable, l’immense Ellen Allien franchit encore un pallier avec « Orchestra of Bubbles». En collaboration avec le bidouilleur Allemand Apparat, la reine de l’électronique outre-rhin s’offre un album d’une grandeur sans égale. D’ailleurs nous pourrions même prétendre que ce disque n’est pas vraiment un album d’Ellen Allien mais plutôt le disque d’un duo dont les cerveaux entrent en fusion dès les premiers sons. D’Ellen Allien, on retrouve les structures complexes de ses morceaux dont l’architecture comme le grain parviennent à flirter avec la pop tout en demeurant intensément techno (« Turbo dreams »). L’apport d’Apparat se situerait plutôt au niveau de l’ambiance, franchement plus éclairée, quasiment lumineuse (« Way out », « Metric »). Son électronique à lui est bien plus acoustique. Alors que les albums solo d’Ellen allien étaient conçus pour se vivre la nuit, « Orchestra of Bubbles » peut s’écouter, peut-être pas en plein jour, mais au moins lors d’un coucher de soleil, lorsque la lumière se ternit quelque peu mais demeure suffisante. Le résultat de cette jonction est tellement magique (« Sleepless », « Leave me alone »), les deux bidouilleurs sont tellement en phase, que leur rencontre nous semble aujourd’hui inévitable comme si le destin se devait de frapper. Un destin que nous remercions avec ferveur tant « Orchestra of Bubbles » restera inévitablement comme un des albums électronique de l’année. |
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Extrait de l'album |
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Chroniques
des Internautes |
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David Le Croller : Ellen Allien fait tout avec Apparat. A eux deux, il forme un paire allemande magique qui mixe les influences technodark d’une berlinette émoustillée toujours aussi transcendante et les compositons d’orfèvres d’un electro-acousticien débridé. Même si les 2 compères DJs ne s’étaient jamais vraiment quittés de vue, cet album est une nouvelle aventure. Une belle histoire d’ailleurs, symbiose de leurs paysages sonores respectifs qui résonne de boucles épileptiques tout autant que de mélopées de cordes. Un disque mystérieux donc, composé en apesanteur, entre ciel et terre qui n’attend que d’être écouter pour s’évanouir et laisser s’évaporer ses volutes dans l’air. |
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